Secteur du tourisme : les raisons d’une déchéance, syndrome d’un mal français

Une majorité des brevets détenus par une poignée d’acteursConcurrence féroce sur un marché étanche oblige, les quelques groupes concernés ne se satisfont plus de leurs propres titres, mais rachètent massivement des « pools » de brevets de technologies alternatives, afin de mieux contrôler les acteurs du marché et l’octroi de licences.La décision n’était pourtant pas évidente pour des anciens chefs d’État, considérés il y a peu comme des alliés, voire comme des amis.Le danger pour les banques ne vient pas tellement des nouvelles réglementations, dont l’impact sera absorbé moyennant une baisse relative de leur rentabilité, vers des niveaux plus proches de celle des entreprises non financières.Il est incontestable que tout état psychologique, par cela seul qu’il appartient à une personne, reflète l’ensemble d’une personnalité.La cécité psychique n’empêche pas de voir, pas plus que la surdité psychique d’entendre.On poussera donc de plus en plus loin ; on ne s’arrêtera, bien souvent, que devant l’imminence d’une catastrophe.Dans notre milieu, les gens la positionnent très bien. Souvent, quand je parle d’innovation, on me répond : Ah, je vois . Un peu comme ce que fait Victor Sossou.Seraient-ce les montants en jeu : la concurrence devenant plus aigüe, les coûts nécessaires en amont du brevetable en étant accrus, justifiant à ce titre une protection ?Les logiciels actuels sont intégrés à la prochaine génération de matériel offrant de nouvelles capacités, qui, à leur tour, créent une nouvelle plateforme permettant aux développeurs logiciels de mettre au point de nouvelles innovations logicielles.Les agences immobilières, déjà bien bousculées par l’arrivée de nombreux acteurs sur un marché très atomisé, souhaitent capturer les biens disponibles.Mon Dieu, les nations qui nous entourent n’en font-elles pas autant, plus ou moins ?