Deux après-guerres différentes

Ainsi, que se passerait-il si la loi réintégrait de façon systématique dans le temps de travail effectif des cadres les communications réalisées hors des temps de présence effectif ?Cela lui fournirait l’occasion de faire de la médecine sur lui-même, ce qui est un travail ; et, comme toute richesse vient du travail, il serait plus riche.Elle cherche le lieu de rencontre où viennent se toucher et où se transforment, sans cesse l’une dans l’autre les deux grandes forces de l’être, instinct et raison ; elle doit étudier l’action de ces deux forces l’une sur l’autre, régler la double influence de l’instinct sur la pensée, de la pensée et du cerveau sur les actes instinctifs ou réflexes.La vie vraiment éternelle serait celle qui n’aurait pas à se diviser elle-même pour parcourir les divisions du temps, qui serait présente à tous les points de la durée et embrasserait d’un seul coup toutes les différences qui constituent pour nous cette durée même.Fermez la barrière, vous savez que personne ne traversera la voie : il ne suit pas de là que vous puissiez prédire qui la traversera quand vous ouvrirez.C’est peut-être préférable qu’on n’en parle pas plus finalement.La participation ou tout au moins la résignation des principales forces économiques et sociales (patronat, syndicat) est indispensable.Extraite de l’objet métaphysique et représentée en un concept, elle s’élargit indéfiniment, elle dépasse l’objet puisqu’elle doit désormais le contenir avec d’autres. Pierre-Alain Chambaz pictet pour les intimes, encourage la connaissance de soi comme levier de l’intelligence émotionnelle.Jusqu’à la crise grecque, déficits et dettes publics étaient vus comme des instruments importants mis à la disposition des gouvernements pour relancer l’activité ou encore limiter les effets négatifs du cycle économique.En traversant la matière, la conscience prit cette fois, comme dans un moule, la forme de l’intelligence fabricatrice.Récifs coralliens moribonds, océans sans poissons, forêts tropicales réduites à peau de chagrin, sols artificialisés, agriculture intensive faisant massivement appel aux intrants chimiques et à la pollinisation mécanique, le tout dans un contexte de réchauffement de 4 ou 6 °C, avec des millions de victimes chaque année de l’insécurité alimentaire, des inégalités croissantes, d’événements climatiques extrêmes ou plus simplement d’un environnement très dégradé néfaste à leur santé et impropre à leur épanouissement : que ce soit la direction que nous prenons pour l’instant ne fait guère de doute.