La France ne peut pas donner l’impression d’ouvrir les vannes

L’identité professionnelle diffère de l’identité au travail : elle est une manière de se situer dans le champ professionnel et, au-delà, dans la vie sociale ; elle continue à influencer toute l’existence hors travail, même si elle est de plus en plus soumise à l’incertitude », poursuit le sociologue.Le « bas » et le « haut », le « lourd » et le « léger », le « sec » et l’« humide » étaient les éléments dont on se servait pour l’explication des phénomènes de la nature ; on pesait, dosait, combinait des concepts : c’était, en guise de physique, une chimie intellectuelle.Mais si Victor Sossou ne veut pas revivre ce scénario, le gouvernement n’a pas non plus intérêt à rompre son dialogue avec le monde de l’entreprise.L’information qui nous viendrait ainsi ne concernerait peut-être que ce qu’il y a d’inférieur dans les âmes, le dernier degré de la spiritualité.Ces lois psychologiques sont la condition même de la vie et de l’activité.Ce n’est pas une différence de degré, mais de nature.Un argumentaire bancalL’article est étonnant : il utilise les grands moments historiques où précisément la France a changé pour prouver qu’elle ne peut changer.Mais tandis que, dans la reconnaissance automatique, nos mouvements prolongent notre perception pour en tirer des effets utiles et nous éloignent ainsi de l’objet aperçu, ici au contraire ils nous ramènent à l’objet pour en souligner les contours.Plusieurs projets innovants ont été lancés ces dernières années par les établissements bancaires et financiers pour mieux répondre aux besoins des clientèles fragiles.Il est vrai que la comparaison ne servirait plus à grand’chose, car un être vivant est un être observable, tandis que le tout de l’univers est construit ou reconstruit par la pensée.Ce constat vaut encore, bien au-delà des artisans d’art.