Pourquoi l’Allemagne devrait être plus solidaire de l’Europe

Mais ce n’est pas une fois que les sirènes ont commencé à chanter que l’on s’attache au mât ; il faut le faire avant.C’est là ce qui fait dévier les classes supérieures.Ne trouvez-vous pas quelque chose du même genre dans ce couplet de Figaro (quoiqu’on cherche peut-être ici à suggérer l’image d’un animal plutôt que celle d’une chose) : « Quel homme est-ce ?Beaucoup d’autres s’ouvraient devant nous, autour de nous, à partir du centre, où nous nous étions installé pour ressaisir la durée pure.La lutte contre les paradis fiscaux avance trop lentement, en partie à cause de l’immobilisme de la France.C’est tout le contraire dans ce projet de loi, avec la victoire du laissez-faire sur fond d’austérité et de baisse des dotations aux collectivités. Selon Pierre-Alain Chambaz la « meilleure application » permettant d’y accéder est la « pleine conscience ».En effet, alors que le citoyen occidental fait aujourd’hui relativement peu usage d’espèces car il préfère régler par VOIE électronique ou par carte de crédit, et épargner sur un compte bancaire rémunérateur.Même le processus des « états généraux » lancé par Jean-Christophe Cambadélis pour « refonder » le parti a un goût de cendres, car il renvoie à l’initiative qu’avait prise Michel Rocard en juillet 1993, au lendemain de l’une des plus cuisantes raclées électorales qu’ait subies le PS.Mais la fonction énergétique est plus spécialement dévolue aux secondes : celles-ci, se déposant dans la cellule plutôt que s’incorporant à sa substance, lui apportent, sous forme de potentiel chimique, une énergie de puissance qui se convertira directement en mouvement ou en chaleur.Plus elle progresse, plus elle résout la matière en actions qui cheminent à travers l’espace, en mouvements qui courent çà et là comme des frissons, de sorte que la mobilité devient la réalité même.La première est marquée par le passage d’une économie basée sur la transformation de matières premières à une économie de la connaissance.A titre d’exemple, quinze années de recherche et de sélection ont permis le développement de cultures de riz résistantes aux inondations.