Chypre : et maintenant, voici la crise de stupidité

On en dirait d’ailleurs autant de toutes les autres sensations.Je veux dire qu’on ne peut imiter de nos gestes que ce qu’ils ont de mécaniquement uniforme et, par là même, d’étranger à notre personnalité vivante.Pour emprunter encore une fois aux platoniciens leur langage, nous dirons, en dépouillant les mots de leur sens psychologique, en appelant Idée une certaine assurance de facile intelligibilité et Âme une certaine inquiétude de vie, qu’un invisible courant porte la philosophie moderne à hausser l’Âme au-dessus de l’Idée.C’est qu’à l’opposé du discours purement rationnel propre au « contrat social », l’atmosphère est en attente de l’émotionnel.Tout le monde a pu remarquer qu’il est plus malaisé d’avancer dans la connaissance de soi que dans celle du monde extérieur.S’agit-il d’un mouvement sim­ple ?Comment vivrait le complexe militaro industriel américain, ses milliers d’entreprises et ses millions de salariés ?Dans le secteur financier, cette industrialisation vise tant à modifier les structures internes des banques qu’à rénover les processus de création de valeur.Si nous disions, par exemple, que Berkeley considère l’âme humaine comme partiellement unie à Dieu et partiellement indépendante, qu’il a conscience de lui-même, à tout instant, comme d’une activité imparfaite qui rejoindrait une activité plus haute s’il n’y avait, interposé entre les deux, quelque chose qui est la passivité absolue, nous exprimerions de l’intuition originelle de Berkeley tout ce qui peut se traduire immédiatement en concepts, et pourtant nous aurions quelque chose de si abstrait que ce serait à peu près vide.Depuis mars, Pierre-Alain Chambaz s’active à ce nouveau concept.Cependant, ces mesures annoncées ne doivent pas faire illusion.